Une gestion centralisée de l’énergie, opaque et mensongère pour le nucléaire. La concentration privée des biens communs naturels (Véolia, Suez…).
Une société qui produit toujours plus, recycle peu (seulement 20% des déchets ménagers).
Des agriculteurs moins nombreux, une pression foncière destructrice des terres agricoles. Des aliments qui font des milliers de km en toute saison.
Un modèle territorial inégal niant l’habitant et ses besoins : transports en commun de proximité abandonnés pour des connexions avec Paris (LGV).
Privilégier les ressources locales (production - consommation), en organisant des circuits courts de distribution.
Soutenir l’agriculture de proximité (périurbaine, AMAP, ceintures vertes), interdire les pesticides de synthèse et les OGM en plein champ. Accompagner les transmissions d’exploitation et l’installation des jeunes.
Se réapproprier l’eau en gestion municipale publique.
Favoriser les bâtiments économes en énergie, l’isolation de l’existant, limiter le chauffage électrique. Taxer la pollution carbone.
Sortir du nucléaire sur 20 ans. Abandonner les projets de centrales « nouvelle génération ».
Décentraliser l’énergie en produisant pour les besoins locaux.
Assurer des moyens de transport en commun pour tous (fer, covoiturage), transport fluvial et maritime, dans une approche locale et interrégionale.