La decision annoncée par Total de suspendre ses activités de dépollution sur le site de Lacq pourrait faire sourire au vu des bénéfices engrangés par le groupe ces dernières années ; mais personne n’a envie de sourire et cela pour plusieurs raisons :
— parce que Total avait provisionné un budget pour dépolluer et donc on se demande à quoi va servir cet argent.
— parce que c’est un mauvais signe et que l’on est en droit de se demander si la prochaine étape n’est pas une annonce d’arrêt définitif de cette dépollution, malgré les promesses.
—parce que c’est un devoir pour une société comme Total de remettre en état des terrains qui lui ont permis de faire de gros bénéfices
— parce que la société Total a fait aussi quelques économies lorsque sur l’intervention d’un député local elle a été exonérée en 2010 de la TGAP (Taxe Générale sur les Activités Polluantes). C’était là une décision tout à fait anormale.
— parce que c’est un mauvais signe et que l’on est en droit de se demander si la prochaine étape n’est pas une annonce d’arrêt définitif de cette dépollution, malgré les promesses.
—parce que c’est un devoir pour une société comme Total de remettre en état des terrains qui lui ont permis de faire de gros bénéfices
— parce que la société Total a fait aussi quelques économies lorsque sur l’intervention d’un député local elle a été exonérée en 2010 de la TGAP (Taxe Générale sur les Activités Polluantes). C’était là une décision tout à fait anormale.
Cette affaire montre le peu d’intérêt que porte Total à notre territoire maintenant que l’aventure béarnaise s’est achevée. Il faut refuser cette décision et exiger que la dépollution continue et aille à son terme.
David Grosclaude
conseiller régional d’Aquitaine
Partit Occitan
Membre du groupe EELV
conseiller régional d’Aquitaine
Partit Occitan
Membre du groupe EELV