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Oloron : l’union sacrée des élus pour la classe bilingue de Pondeilh

Oloron : l'union sacrée des élus pour la classe bilingue de Pondeilh



Par Sébastien Lamarque

Publié le 23/09/2014 à 06h00
Mise à jour : 23/09/2014 à 08h28

Les parents d'élèves de la classe bilingue de l'école Pondeilh sont mobilisés depuis la rentrée pour réclamer la création d'un poste. Ils viennent de recevoir le soutien public d'élus de poids dans la région.

Les parents d'élèves de la classe bilingue de l'école Pondeilh sont mobilisés depuis la rentrée pour réclamer la création d'un poste. Ils viennent de recevoir le soutien public d'élus de poids dans la région. (Sébastien Lamarque)

Faut-il vraiment que la question suscite une véritable union sacrée pour que l'on retrouve, côte à côte, les signatures de David Grosclaude, vice-président EELV du conseil régional, du maire d'Oloron Hervé Lucbéreilh, du 1er vice-président de la Région (et de la CCPO) Bernard Uthurry, des conseillers généraux Jean-Claude Coste et Jean-Pierre Domecq, et du vice-président de la CCPO Marc Oxibar (UMP).

Et la question qui unit un aréopage aussi varié est… l'enseignement de l'occitan. Et plus précisément la demande de création d'un poste supplémentaire pour la classe bilingue de l'école Pondeilh. "Depuis 2009, à chaque rentrée, les parents d'élèves de cette école d'Oloron sont obligés de manifester leur mécontentement en raison du fonctionnement de la classe bilingue ouverte en 2007, écrivent les élus précités. Depuis cinq ans les parents sont obligés de batailler afin que leurs enfants aient des conditions normales de travail."

Autour de David Grosclaude*, vice-président du conseil régional en charge des langues régionales, les élus soutiennent la demande des parents de Pondeilh. "Ce qui se passe à l'école de Pondeilh est un bel exemple de ce qui peut décourager des parents." Pourtant, l'enseignement de l'occitan, reconnu par la loi depuis l'année dernière est bien "un droit". Mais force est de reconnaître qu'il y a donc "un problème spécifique à l'enseignement en occitan" (...).

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*Président du Partit Occitan (NDLR)
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